La MCF : l’autre mutuelle ! Celle de la solidarité choisie !

Jean-Louis Bancel – Président de MCF
Mes parents utilisaient souvent cette expression, aujourd’hui désuète, pour qualifier un phénomène dont on savait qu’il durerait une saison ou deux. Dans leur bouche, cette expression prenait une saveur particulière, puisqu’ils étaient tous les deux fonctionnaires des impôts.
De tradition, ils savaient que la collecte des contributions publiques est un exercice régalien dont la pérennité traversait les époques et les régimes. Ceci est clairement affirmé dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 : “une contribution commune est indispensable, pour l’entretien de la force publique et pour les dépenses d’administration” (art. 13).
Par cette déclaration, l’État engage solennellement sa parole. Depuis 250 ans, ceci a contribué à solidifier le contrat social. Ainsi s’est construit, étape par étape, un État au service des citoyens. En dehors de circonstances exceptionnelles, les gouvernements se sont attachés à exécuter les promesses faites, surtout lorsqu’elles étaient édictées par le Législateur. Depuis quelques années, animés par la volonté de refuser un immobilisme sclérosant, en particulier lorsqu’il s’agit des services publics, certains gouvernements ont pu, sans concertation préalable, remettre en cause la parole de l’État.
Retrouvez l’édito complet de Jean-Louis Bancel dans notre Revue.
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